Dans son roman postmoderne « Oreille rouge », Eric Chevillard se moque avec humour de l’écrivain voyageur qui magnifie l’Afrique des clichés.
Ah, les récits de voyage! Ah, l’écrivain voyageur! Ah, l’Afrique, ses animaux, la savane, les baobabs… Ah, Eric Chevillard, son humour, son impertinence et ses jeux avec la langue! Dans Oreille rouge, l’authenticité n’a qu’à bien se tenir, et la littérature de voyage aussi. Un texte d’une savoureuse dérision qui fait voler en éclat les clichés sur l’Afrique!
Oreille rouge: quand l’écrivain voyage en Afrique
Invité en résidence d’écriture au Mali, Oreille rouge ambitionne un projet « original »: écrire un grand poème sur l’Afrique. Lui, l’écrivain casanier qui ne dédaigne pas une « sieste sur la canopée », il se vante déjà de son voyage. L’Afrique, c’est chez lui… mais mieux vaut prendre ses précautions, se faire vacciner à outrance et préparer une trousse à pharmacie conséquente
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C’est bien un arbre, un baobabaménagé à l’intérieur, par la grâce de Dieu pour y donner l’ossature d’une mosquée, et en faire un lieu de prière de l’islam.
Il a été le lieu d’adoration de Dieu par un érudit de Kiban, appelé Cheick Oumar Kaba Diakité, dont les descendants restent aujourd’hui attachés à ce symbole (cercle de Banamba région de Koulikoro).
Ce baobab est fait mosquée, dont la porte d’entrée est une fente faite par la nature au flanc de l’arbre. Une fois entré, à l’intérieur se trouve un espace bien situé pour être le ‘’mihrab’’(Niche à l’intérieur d’une mosquée qui indique la direction de la Mecque), la place réservé à l’islam devant les fidèles. Une première rangée derrière l’imam laisse de la place bien distincte pour quatre personnes et une deuxième rangée pour trois personnes, tous pouvant prier à l’aise. Selon un témoin, la mosquée ou le baobab laisse entrevoir deux fenêtres qui ne sont nullement visibles qu’une fois à l’intérieur, parce que disposées de telle sorte qu’elles ne sont pas perceptibles ni en regardant de l’extérieur, ni en grimpant sur l’arbre.
Selon les informations généalogiques, Cheick Oumar Kaba Diakité serait resté dans le baobab pour prier et adorer Dieu pendant sept ans, sept mois et sept jours. C’est pendant ce temps que l’arbre aurait pris cette ossature faisant de lui pratiquement une mosquée naturelle à la disposition de l’érudit, explique-t-on. Ses prières pendant sa période de retraite ont été exaucées par Dieu, explique-t-on car ce sont trois choses qu’il aurait demandées à Dieu et qui se sont réalisées jusqu’à ce jour. Parmi ces trois choses, deux sont en rapport avec ce monde, la troisième est propre à la vie dans l’au-delà.
Le premier fils de Cheick Oumar Kaba Diakité qui est Cheick Sidya Kaba Diakité repose à Niamina. Le premier fils de ce dernier, Mahamadou Kaba Diakité repose à Kiba. Son premier fils Karamako Bâ Kaba Diakité vit aujourd’hui à Kiba et à Bamako. Ils sont restés attachés au baobab mosquée de Kiban qui reste encore un lieu de mystère et de ‘’Ziarra’’ (pèlerinage) pour les fidèles musulmans tous les 12 janvier. Pour plus d’info sur cette œuvre de la nature et le mystère qui l’entoure, ainsi que sur la vie de Cheick Oumar Kaba Diakité, Karamoko Bâ Kaba Diakité est joignable au : 66 73 52 49 ou au 76 39 28 63 à Moribabougou Rue 368 Porte 62 de 12H à 17 h 30 et de 21 h à 01 h. (walilahi bi taofic).
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Bien que le diabète soit tout aussi meurtrier que le VIH/SIDA et que sa prévalence en Afrique ait pratiquement doublé au cours des 15 dernières années pour atteindre plus de sept millions de cas, d’après la Fédération internationale du diabète (IDF), la maladie reçoit une attention limitée de la part des bailleurs de fonds ou des gouvernements d’Afrique.
Le diabète, qui selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est la cause de six pour cent environ des décès enregistrés chaque année dans le monde, est une maladie chronique qui résulte d’une production insuffisante d’insuline par le pancréas, ou d’une utilisation inefficace par l’organisme de l’insuline produite.
Stéphane Besançon, nutritionniste et directeur de Santé Diabète Mali, une association à but non lucratif, a expliqué que l’urbanisation, la sédentarisation, l’accès à des moyens de transport motorisés, les importations de denrées alimentaires et l’industrialisation ont mis à rude épreuve la santé des Maliens.
« Les motos étant moins chères, les gens marchent tout simplement moins. L’huile artisanale, qui était autrefois fabriquée au goutte à goutte, est désormais produite et importée en masse, ce qui a des répercussions négatives sur les habitudes alimentaires ».
Au Mali, dans les services de médecine interne, le diabète est la seconde cause d’hospitalisation après le VIH/SIDA, et la cause de 40 pour cent de l’ensemble des consultations, d’après le ministère de la Santé, qui se base sur les données les plus récentes de 1996. M. Besançon a expliqué que le diabète était difficile à dépister et que le gouvernement menait actuellement une enquête nationale pour actualiser ces chiffres.
M. Besançon a par ailleurs indiqué que certains facteurs culturels aggravaient le risque, tels que le fait de partager un même plat pour les repas, qui ne permet pas de contrôler les portions, et la perception de l’obésité comme un signe de beauté et de prestige.
Un double fardeau
Alieu Gaye, directeur de l’IDF pour l’Afrique, a dit que le continent se voyait contraint de lutter contre les maladies chroniques, alors même qu’il était aux prises avec le plus grand réservoir de maladies infectieuses au monde.
« Les pays africains ne sont pas encore venus à bout des maladies infectieuses que déjà des maladies chroniques font leur apparition », a dit M. Gaye. « Mais ces maladies ne sont pas financées, ne reçoivent pas d’attention et sont rarement diagnostiquées ».
L’OMS estime qu’à l’horizon 2025, l’augmentation la plus significative de la prévalence du diabète sera enregistrée dans les pays en voie de développement, qui devraient abriter 75 pour cent des patients diabétiques du monde. Au minimum la moitié d’entre eux n’ont cependant pas été diagnostiqués, ce qui signifie que de nombreuses autres complications médicales ne seront pas non plus diagnostiquées, selon l’IDF.
D’après l’OMS, le diabète est à l’origine de 60 pour cent des amputations dans les pays en voie de développement. Outre les maladies du pied, le diabète peut entraîner une cécité, des maladies cardiaques (la première cause de décès au monde), une insuffisance rénale et une perte de sensations dans les membres.
Une étude de 2004 menée par l’association Santé Diabète Mali a révélé que les patients diabétiques présentant des complications payaient plus de 160 dollars par mois pour financer leur traitement, contre 60 dollars pour les patients sans complication. « Sans dons des bailleurs de fonds ni subventions gouvernementales, les patients paient de leur poche, ou interrompent simplement le traitement qui les maintient en vie », a expliqué M. Besançon.
En moyenne, les salariés maliens gagnaient à peine plus de 41 dollars par mois en 2007, d’après la Banque mondiale.
De récentes études menées au Mali et au Mozambique ont révélé qu’une personne ayant besoin d’insuline pour survivre décèderait en moins d’un an, selon l’IDF. En Zambie, cette moyenne est de 11 ans.
Selon M. Gaye, les maladies infectieuses monopolisent toute l’attention dans les pays en voie de développement, alors que les maladies chroniques telles que les maladies cardiaques, l’hypertension et le diabète sont considérées à tort comme des préoccupations de « pays riche ».
Sans l’aide des bailleurs de fonds, il est peu probable que les gouvernements pauvres accordent davantage d’attention au diabète, a regretté M. Besançon. « Il n’est de secret pour personne que les gouvernements soutiendront tous les programmes sanitaires, quels qu’ils soient, que les bailleurs de fonds sont prêts à financer. Les dons des bailleurs de fonds déterminent les priorités nationales ».
Depuis 2001, les bailleurs de fonds ont alloué près de 12 milliards de dollars au Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme.
D’après une étude de 2004 publiée dans une revue médicale, le diabète et les autres maladies chroniques non transmissibles sont rarement favorisées par les bailleurs de fonds ou dans les politiques, bien qu’ils soient la première cause de mortalité à travers le monde, selon l’OMS.
Qui sauver ?
En 2006, l’Union africaine et l’OMS ont été le fer de lance de la déclaration et la stratégie africaines sur le diabète qui, selon M. Gaye, ont suscité une prise de conscience, mais n’ont pas donné lieu à une levée de fonds significative.
M. Besançon a remis en cause le fait de subventionner la prise en charge d’une maladie mais pas celle d’une autre. « Le traitement d’un patient atteint du VIH est pris en charge, mais pas celui d’un patient diabétique. Or le patient sauvé du VIH pourrait tout à fait décéder du diabète ».
M. Gaye a affirmé que les études préliminaires menées auprès de patients atteints du VIH/SIDA ont révélé que la malnutrition ainsi que d’autres effets secondaires pouvaient exposer les patients risque de diabète.
Pour M. Besançon, injecter de l’argent pour éradiquer une maladie donnée permet de minimiser les interactions entre les maladies. « Cette situation crée un problème éthique pour les médecins, qui sont en mesure de sauver la vie d’un patient atteint d’une pathologie donnée, mais pas celle d’un autre ».
« La question n’est pas de déterminer comment lever davantage de fonds ou créer un Fonds mondial ambivalent, mais plutôt comment redistribuer ces fonds dans le système de santé global, afin que les complications mortelles sont traitées de façon égale ».
Le diabète en Afrique
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Bon pour vos papilles mais pas toujours pour votre santé
Le sucre est par lui-même une substance naturelle qui compose de nombreux aliments sains comme les fruits et les légumes dont il est extrait.
Le sucre fournit de l’énergie à l’organisme pour le fonctionnement de toutes les cellules. On ne peut donc dire que le sucre par lui-même est nocif mais les problèmes qu’il cause sont dus à ce qu’il n’apporte pas. Le sucre raffiné ne contient ni vitamines, ni fibres, ni antioxydants, ni aucune substance d’accompagnement qui existe chez les végétaux et qui exercent un effet protecteur. Ses calories sont vides et du point de vue nutritif, il est très incomplet et très déséquilibré. Il déséquilibre le régime, le métabolisme, et prend la place des autres aliments. Il est cause des caries dentaires, obésité, diabète, hyper-tension, cancers… De même, les sucres artificiels ou synthétiques (saccharine, aspartame…) actuellement très utilisés dans l’industrie alimentaire ont des effets secondaires indésirables. Non nutritifs, ils n’apportent aucun nutriment, et peuvent causer des troubles nerveux et provoquer des cancers. Ils peuvent aussi entraîner une augmentation de l’appétit avec une prise de poids. Il convient donc de remplacer l’usage du sucre blanc par des sucre plus naturels comme la Stevia, le sirop d’agave, le miel, le rapadura,..
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Une peau tonique et lumineuse grâce à la pulpe de baobab
Sa richesse en vitamines, minéraux, acides aminés fait de la pulpe de baobab
un excellent régénérant cutané.
Les minéraux comme les vitamines sont essentielles au bon fonctionnement de notre organisme, de l’intérieur comme de l’extérieur, ils participent à l’équilibre naturel de la peau et de la flore intestinale.
Du fait de sa teneur équilibrée en antioxydants hydrophiles (vitamine C, flavonoïdes) et lipophiles (vitamine E, bêta carotène, acide alpha linoléique), la pulpe du fruit du baobab est un véritable antioxydant global. Le baobab protège donc des attaques des radicaux libres toutes les structures cellulaires et lutte ainsi contre le vieillissement.
Parmi les vitamines contenu dans la pulpe de baobab, la vitamine A en relançant le métabolisme cellulaire va aider à la réparation des peaux lésées, sèches ou âgées. Les vitamines B vont assurer une bonne régénération des cellules souches de la peau tout en régulant les fonctions métaboliques. La vitamine C et la vitamine E vont intervenir dans la synthèse du collagène (le collagène est une protéine du derme qui soutient la peau lui donnant ainsi un aspect ferme) tandis que La vitamine F, ou acide linoléique, qui est composé d’acides gras polyinsaturés va permettre d’assurer une hydratation parfaite et une protection des tissus. La vitamine F permet aux cellules de l’épiderme de retrouver toute leur tension en eau en diminuant leur imperméabilité, elle augmente la résistance de la peau face aux agressions extérieures.
La pulpe du fruit du baobab est aussi riche en minéraux, calcium, phosphore, zinc et acides gras essentiels qui sont indispensables au bon fonctionnement de notre organisme, ils participent à l’équilibre de la peau.
Ces composants contribuent en effet à la régénération et à la protection de l’épiderme, ils assurent sa teneur en eau et favorisent la microcirculation. Nous trouvons notamment le zinc (0,64mg/100gr) qui a la propriété de stimuler la synthèse du collagène. De plus le zinc est reconnu pour réguler la production de sébum et ainsi éviter les problèmes de peaux grasses tandis que le manganèse (0,6-0,9mg/100gr) est un est antioxydant qui agit contre les signes du vieillissement cutané.
La pulpe de baobab aidera ainsi votre peau à retrouver son élasticité et sa luminosité. C’est un moyen naturel de retrouver un teint de pèche et une peau de jeune fille.
Pensez aussi à boire beaucoup, une bonne hydratation de l’intérieur est la base pour conserver une peau tonique et lumineuse.
Baomix, la pulpe de baobab peut être utilisé en masque instantané, il suffit de mélanger une petite quantité de poudre avec un peu d’eau minérale de façon à obtenir une pâte facile à appliquer sur le visage. Appliquez ainsi la pâte sur le visage pendant 10 à 15 min 3 fois par semaine et rincer à l’eau claire. Pour parfaire votre soin vous pouvez vous masser le visage avec un peu huile de baobab qui va continuer à hydrater votre peau en profondeur. Pour celle qui aime réaliser leurs propres cosmétique, vous pouvez introduire Baomix
dans vos savons, pommades ou autre préparations cosmétiques.
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